politique environnementale globale
Ecofestival du cinéma - lancement ce samedi 12 mars à Combs-la-Ville
Bonjour
Nous avons le plaisir de vous présenter le programme de la cinquième édition de l'écofestival du cinéma (pièce jointe).
L'ouverture, le 12 mars à 20h30, à la Coupole (Combs-la-Ville - 77), sera un moment particulier avec un ciné-débat autour du flm
"Frères des arbres L'appel d'un chef papou"
avec Marc Dozier, coréalisateur
et
Considéré comme l’un des leaders de sa communauté, Mundiya Kepanga est un chef papou respecté de la tribu des Hulis de Papouasie-Nouvelle-Guinée. Observateur du monde développé qu'il aime commenter de façon personnelle, il est devenu une voix des peuples autochtones.
Au plaisir de vous rencontrer !
Merci de diffuser cette information autour de vous.
PCAET de la CC Moret Seine et Loing
Plan Climat Air Énergie Territorial
de la Communauté de Communes de Moret Seine et Loing
En lien avec les objectifs de l’Accord de Paris de 2015 (COP 21), conformément à loi sur la Transition énergétique pour la croissance verte du 17 août 2015, la Communauté de communes de Moret Seine & Loing (CCMSL) a décidé d’engager en 2019 l’élaboration d’un Plan Climat Air Energie Territorial (PCAET).
Ce projet a été arrêté par délibération du Conseil communautaire le 30 juin 2020.
Le PCAET est un projet de développement durable qui vise à engager les territoires vers la transition énergétique, en vue d’atténuer le changement climatique, le combattre efficacement et s’y adapter.
En application des dispositions de l’article L. 123-19 du code de l’environnement, une procédure de consultation du public électronique est organisée sur le projet de Plan Climat-Air-Energie Territorial (PCAET) de la Communauté de communes de Moret Seine & Loing.
La procédure de participation du public par voie électronique sera ouverte pendant 30 jours consécutifs :
Du mardi 18 janvier 2022 à 9h00 au vendredi 18 février 2022 à 17h30 inclus.
Les pièces de ce dossier seront consultables à compter du 4 janvier 2022 (9h00):
•– En ligne depuis le site internet de la communauté de communes de Moret Seine &
Loing : https://www.ccmsl.fr/cadre-de-vie-et-transports/environnement/pcaet.html
•– Sur support papier, pendant la durée de la consultation, aux jours et heures habituels
d’ouverture du site de la communauté de communes de Moret Seine & Loing : Site
Prugnat, 18, allée Gustave Prugnat, Moret-sur-Loing 77250 Moret-Loing-et-Orvanne du
lundi au vendredi de 9h00 à 12h00 et de 13h00 à 17h30.
Le public pourra formuler ses observations et propositions, pendant la durée de la consultation
par voie numérique à l’adresse suivante : plan.climat@ccmsl.com.
Marche des terres les samedi 9 et dimanche 10 octobre 2021
Pour lutter contre le bétonnage inutile des terres agricoles, les collectifs des quatre départements péri-urbains agricoles de l'Ile-de-France se sont regroupés pour l'organisation des Marches des terres. Elles partiront de Val Bréon en Seine-et-Marne, Saclay dans l'Essonne, Thoiry dans les Yvelines et Gonesse dans le Val d'Oise.
Les quatre Marches convergeront vers midi place de l'Hôtel de Ville de Paris, pour le pique-nique du dimanche 10 octobre, puis se rendront en manifestation à Matignon.
Plus d'informations sur le site des Marches https://les-marches-des-terres.com/
"Projet explosif" à Nangis
France Nature Environnement Seine-et-Marne vous alerte sur un « projet explosif ».
Une enquête publique se déroule actuellement sur le projet de plate-forme logistique sur la ZAC Actipôle de Nangis, sous la maîtrise d’ouvrage de la société FM logistique.
Le gigantisme de ce projet est inquiétant : pour satisfaire la demande de ses futurs clients, FM Logistique, le pétitionnaire, sollicite des autorisations d’exploiter en seuil Seveso haut pour de très grandes quantités de produits dangereux (six rubriques au moins) , entre autres :
- aérosols hautement inflammables, 2 fois 13 000 tonnes ;
- produits chlorés dangereux pour l’environnement aquatique, 2 fois 12 000 tonnes ;
- engrais à base de nitrate d’ammonium, 12 000 tonnes…
Ces quantités énormes sont pour plusieurs 25 fois au-dessus du seuil de déclenchement Seveso haut !
Dans ces conditions, il y a des risques majeurs d’incendie, explosion, nuage toxique.
Le Service Départemental d’Incendie (SDIS) de Seine-et-Marne a indiqué dans son avis du juillet 2020 que « les sapeurs-pompiers seraient confrontés à l’impossibilité opérationnelle de limiter la propagation d’un incendie au regard des caractéristiques constructives du bâtiment ».
L’avis réglementaire établi en novembre 2020 sur ce projet par la Mission Régionale de l’Autorité Environnementale (MRAe) contient un grand nombre de questions, de critiques et de sérieuses réserves :
- conformité du projet aux prescriptions du Schéma directeur d’Île-de-France en matière de type de logistique, ainsi qu’aux directives nationales relatives à l’artificialisation des sols ;
- conformité du projet aux orientations initiales de la ZAC Actipôle ;
- traitement restreint de certains scénarios d’accidents dans l’étude de dangers présentée par le pétitionnaire (ex. : diffusion d’un nuage toxique vers la zone urbanisée de Nangis);
- etc…
Le mémoire en réponse présenté en décembre par FM logistique et ses partenaires est loin de répondre à toutes les questions posées dans l’avis de la MRAe.
Le projet présenté par FM logistique sur la ZAC Actipôle de Nangis apparaît donc :
- surdimensionné ;
- facteur de dangerosité ;
- inapproprié sur des terres actuellement agricoles.
Nous demandons :
- son abandon en l’état, et,
- une concertation entre toutes les parties prenantes pour la recherche de solutions alternatives.
Ci-joint, :
Les observations présentées par FNE Seine-et-Marne auprès de M. le Commissaire enquêteur
Pour consultation du dossier :
https://www.seine-et-marne.gouv.fr/Publications/Enquetes-publiques/NANGIS-77-370-FM-FRANCE-SAS
Nous vous invitons à intervenir sur le cahier d'enquête publique ouvert jusqu'au dimanche 18 avril 2021 à 18h, en y mettant vos propres observations ou en reprenant tout ou partie du texte ci-dessus.
Courriel : mailto:fmfrance-nangis@enquetepublique.net
Voie postale : Mairie de Nangis, rue du maréchal de Lattre de Tassigny, 77370 NANGIS
Bien cordialement
Communiqué de presse : Projet du nouveau terminal T4 à Roissy et crise sanitaire
Communiqué de presse (extraits)
France Nature Environnement Seine-et-Marne exprime son opposition au maintien de l’enquête publique sur le projet de nouveau terminal T4 à Roissy, prévue en juin prochain.
Mais un simple report de cette enquête nous semble maintenant insuffisant, étant donné le nouveau contexte créé par la crise sanitaire du COVID 19.
Le dossier d’utilité publique de ce projet doit au contraire être entièrement revu à la lumière des enseignements de cette crise, ce dont ne tient pas compte le dossier actuel.
Tous les détails dans le communiqué de presse intégral ci-joint
Instruction en faveur d'une gestion économe de l'espace
Vous trouverez ci-joint la circulaire gouvernementale du 29 juillet 2019 appelant au renforcement de la mobilisation de l'Etat local pour porter les enjeux de lutte contre l'artificialisation des sols, appliquer les dernières mesures législatives prises en la matière et mobiliser les acteurs locaux.
Nous voulons des coquelicots vendredi 6 septembre 2019 à 18h30
... Rejoignez vendredi 6 septembre à 18 h 30 l'un des 560 rassemblements prévus
sur https://nousvoulonsdescoquelicots.org/agir-ensemble/
ou rendez-vous vendredi 6 septembre à 18 h 30 Place Saint Jean à Melun ou devant la mairie de Maincy …
Stockage de l'eau : les ministres passent, les cours d'eau trépassent
Bonjour,
Vous trouverez ci-dessous le communiqué de presse de la confédération paysanne concernant la question du stockage de l’eau pour faire face à la sécheresse que soutient France Nature Environnement national.
Vous en souhaitant bonne lecture,
Communiqué de presse
Stockage de l’eau : les ministres passent, les cours d’eau trépassent
Jeudi 28 août, le ministre de l'Agriculture Didier Guillaume s'est exprimé sur le stockage de l'eau. Selon lui, il faut stocker l'eau pour faire face à la sécheresse. Tout, dans sa déclaration, est un pied de nez aux enjeux auxquels l'agriculture doit se confronter pour faire face à la problématique de l'eau.
Non, Monsieur le ministre, les bassines de Poitou-Charentes ne sont pas des retenues collinaires et ne se remplissent pas avec de l'eau de pluie. Il s'agit de pomper dans les nappes et les cours d'eau. Il s'agit, à coup de subventions publiques, de privatiser l'eau au frais du contribuable et au détriment d'une répartition équitable des volumes d'eau entre paysan.ne.s.
Pourquoi regarder « l'eau tomber du ciel » alors qu'on peut la stocker ? Parce que l'eau qui tombe du ciel vient nourrir un stockage naturel qu'il convient de préserver au maximum. L'agriculture doit pouvoir compter, en particulier en période de sécheresse, sur le rechargement de ces espaces naturels de stockage et de circulation de l'eau.
D'autant plus que l'agriculture industrielle a asséché ce système hydraulique : les nappes ne se remplissent plus, les sols ne retiennent plus l'eau, les zones humides n'en sont plus, les cours d'eau ont été réduits et détournés de leurs parcours naturels. Le dernier rapport d’étape du GIEC, publié le 8 août dernier, confirme ce triste constat. En cette période de tension les fleuves ne jouent plus leur rôle d'approvisionnement en minéraux des zones ostréicoles et les conflits concernant la priorité et le partage de la ressource en eau entre irrigants se multiplient.
Pour la Confédération paysanne, l'agriculture doit minimiser ses impacts qualitatifs et quantitatifs sur les réservoirs naturels d'eau, qu'ils soient terrestres ou maritimes. La résilience de l'agriculture se joue dans sa capacité à mettre en œuvre des pratiques permettant d'économiser l'eau, de la répartir et de recréer des espaces naturels de stockage de l'eau, en particulier dans les sols.
Contacts :
- Nicolas Girod, Porte-parole national : 06 07 55 29 09
- Jean-François Périgné, Secrétaire national : 07 87 69 16 80
Politiques de sortie des pesticides
Bonjour,
Vous trouverez ci-dessous le communiqué de presse de la confédération paysanne concernant les politiques de sortie des pesticides que soutient FNE national (communiqué de presse ci-joint).
Vous en souhaitant bonne lecture,
Pesticides : Tous les niveaux de l’État doivent engager des politiques de sortie des pesticides
Mardi 27 août, le tribunal administratif de Rennes a suspendu un arrêté pris par le maire de Langouët (Ille et Vilaine). Cet arrêté interdisait l’utilisation de pesticides (à l'exception de ceux utilisés en AB et des substances à faibles risques) à une distance inférieure à 150 m de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel. Pour la Confédération paysanne, l'initiative locale de ce maire est le résultat de l'absence de réponse et de prise en charge par les gouvernements successifs de la problématique des pesticides et de leur dangerosité. A ce titre, elle ne peut que saluer le fait que des élus locaux s'interrogent face à cet enjeu et cherchent les moyens pour y répondre.
La mise en place de distances d'interdiction de l'utilisation de pesticides de synthèse peut effectivement permettre de réduire les risques d'intoxications aiguës. Mais en aucun cas cela ne peut constituer une solution pour la sortie des pesticides, voire cela risque de détourner l'attention d'un objectif de protection de l'ensemble de la population.
Les pesticides de synthèse sont des produits toxiques aux impacts sanitaires et environnementaux graves. Mais les pesticides sont aussi et malheureusement une arme de compétitivité dans un contexte de libre-échange acharné. Le modèle agro-industriel libéralisé enferme les paysan.ne.s dans la recherche permanente de volume et de productivité du travail au détriment de la santé des humains, la leur en premier lieu, et de l'environnement.
Pour la Confédération paysanne, protéger les populations implique de sortir des pesticides sur tout le territoire, en commençant par interdire immédiatement les molécules les plus dangereuses (cancerogènes, mutagènes, reprotoxiques, perturbatrices endocriniennes). Cette interdiction doit être accompagnée de la mise en place de mesures économiques (aides à la transition, aides à l'Agriculture Biologique, structuration de filières locales, etc) et commerciales (fin des accord de libre-échange, arrêt des importations de produits traités avec des pesticides interdits en France, prix minimum d'entrée sur le marché national, etc) permettant aux paysan.ne.s de changer leur pratiques, de relocaliser l'agriculture et de vivre de leur métier.
Contacts :
- Nicolas Girod, Porte-parole : 06 07 55 29 09
- Damien Houdebine, Secrétaire national : 06 64 29 17 79
- Charlotte Kerglonou, Porte-parole Confédération paysanne Ille-et-Vilaine : 06 99 50 45 27