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urbanisme et amenagement du territoire

Prochaine CDPENAF le jeudi 24 Janvier 2019

Publié le par France Nature Environnement Seine-et-Marne

La prochaine réunion de la Commission Départementale de la Préservation des Espaces Naturels, Agricoles et Forestiers se tiendra le jeudi 24 Janvier 2019 à Vaux-le-Pénil sur l'ordre du jour que vous trouverez ci-dessous.

Si vous avez des informations à nous communiquer ou des remarques à faire sur un dossier qui y sera traité contactez-nous : fne77@orange.fr 

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Prochaine CDPENAF le 29 novembre 2018

Publié le par France Nature Environnement Seine-et-Marne

La prochaine réunion de la Commission Départementale de la Préservation des Espaces Naturels, Agricoles et Forestiers se tiendra le jeudi 29 novembre 2018 à Vaux-le-Pénil sur l'ordre du jour que vous trouverez ci-dessous.

Si vous avez des informations à nous communiquer ou des remarques à faire sur un dossier qui y sera traité contactez-nous : fne77@orange.fr 

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Réunions publiques sur le PADD de la Communauté d'Agglomération Roissy-Pays-de-France du 8 au 18 octobre 2018

Publié le par France Nature Environnement Seine-et-Marne

Réunions publiques sur le PADD de la Communauté d'Agglomération Roissy-Pays-de-France du 8 au 18 octobre 2018
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Prochaine CDPENAF le 20 septembre 2018

Publié le par France Nature Environnement Seine-et-Marne

 

La prochaine réunion de la Commission Départementale de la Préservation des Espaces Naturels, Agricoles et Forestiers se tiendra le jeudi 20 septembre 2018 à Vaux-le-Pénil sur l'ordre du jour que vous trouverez ci-dessous.

Si vous avez des informations à nous communiquer ou des remarques à faire sur un dossier qui y sera traité contactez-nous : fne77@orange.fr 

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Démission de Nicolas HULOT : Continuons le combat !

Publié le par France Nature Environnement Seine-et-Marne

Communiqué de presse de FNE Ile-de-France le jeudi 30 août 2018

DEMISSION MAIS PAS RESIGNATION. CONTINUONS LE COMBAT !

Le bureau de France Nature Environnement Ile-de-France a pris acte de la démission de Nicolas Hulot et salue les efforts accomplis pour impulser, au sein du gouvernement et au niveau européen, des orientations favorables à la transition écologique malgré l’emprise puissante des lobbys. La politique des « petits pas » menée aujourd’hui n’est pas à la hauteur des enjeux planétaires que sont le changement climatique, la pollution de l’air, l’artificialisation des sols, les dégâts causés par une urbanisation galopante (disparition des espaces naturels, augmentation du volume de déchets).

En Ile-de-France la canicule de l’été 2018 a cruellement démontré les causes et mis l’accent sur les conséquences du réchauffement climatique et les risques élevés en termes de santé publique.

L’’Etat et des collectivités en Ile-de-France ne proposent pas une politique coordonnée, cohérente et efficace. C’est pourquoi les 400 associations de FNE Ile-de-France continueront d'interpeller activement les élus locaux et régionaux sur l’urgence d’agir contre le grignotage des terres agricoles par les grands projets inutiles notamment sur le plateau de Saclay et le triangle de Gonesse avec EuropaCity.

Elles continueront de dénoncer l’impact sur les milieux naturels de la multiplication des zones logistiques et des installations de stockages de déchets en particulier en Seine-et-Marne et dans les territoires de la grande couronne.

Elles continueront de combattre l’accélération de la densification urbaine à Paris et autour des stations du futur Grand Paris Express, l’implantation des tours en périphérie de la capitale, les nuisances croissantes comme le bruit.

Elles continueront d'alerter les pouvoirs publics sur les risques d’inondations renforcés par l’artificialisation des sols et sur les menaces qui pèsent sur la biodiversité et sur les forêts franciliennes.

Le départ de Nicolas Hulot, ministre engagé sincèrement pour la cause de la transition écologique, sonne pour FNE Ile-de-France comme une exigence de poursuivre le travail d'alerte des citoyens sur les enjeux vitaux de l’environnement dans notre région et la dénonciation des projets à risque. FNE Ile-de-France continuera de proposer des solutions innovantes et alternatives et de favoriser l'implication des jeunes générations dans la transition écologique.

Contacts presse

Muriel Martin-Dupray, Vice-présidente et porte-parole, muriel.martin-dupray@fne-idf.fr
Michel Riottot, Conseiller du président et porte-parole, michel.riottot@orange.fr
Anne Sauvey, Secrétaire générale,
anne.sauvey@fne-idf.fr

Secrétariat 01 45 82 42 34, secretariat@fne-idf.fr

>  

France Nature Environnement Ile-de-France est la fédération régionale des associations de protection de la nature et de l’environnement. Elle est le porte-parole de plus de 400 associations, unions ou collectifs départementaux et locaux. Membre de la fédération nationale France Nature Environnement, FNE Ile-de-France est son représentant régional.  

Télécharger le communiqué de presse

FNE ÎLE-DE-FRANCE
2, rue du Dessous des Berges
75013 PARIS

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Méga-entrepôts,maxi bobards et giga risques

Publié le par France Nature Environnement Seine-et-Marne

L’impact environnemental du boom de ces « méga-entrepôts » est considérable : artificialisation des sols à outrance, accaparement de terres arables, hausse de la pollution de l’air… Mais au-delà de la problématique environnementale, c’est également la sécurité des populations locales qui est en jeu. France Nature Environnement dénonce un abaissement inquiétant de la sécurité des sites, qui a pour seul objectif de faciliter leur implantation.

Article complet sur le dossier :  "Méga-entrepôts, maxi bobards et giga risques" 

Source : France Nature Environnement

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Réunion publique Domaine de BELLEFONTAINE le 16 MAI 2018 20h à Avon

Publié le par France Nature Environnement Seine-et-Marne

Réunion publique Domaine de BELLEFONTAINE le 16 MAI 2018 20h à Avon
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Prochaine CDPENAF le 29 Mars 2018

Publié le par France Nature Environnement Seine-et-Marne

La prochaine réunion de la Commission Départementale de la Préservation des Espaces Naturels, Agricoles et Forestiers se tiendra le jeudi 29 Mars 2018 à la DDT à Vaux-le-Penil sur l'ordre du jour que vous trouverez ci-dessous.

Si vous avez des informations à nous communiquer ou des remarques à faire sur un dossier qui y sera traité contactez-nous : fne77@orange.fr

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Dépôt d'une motion "moratoire entrepôts de logistique" par FNE Seine-et-Marne le 9 Mars 2018

Publié le par France Nature Environnement Seine-et-Marne

Depuis plusieurs mois se succèdent des demandes d'autorisation de construction et d'exploitation d'entrepôts logistiques qui reçoivent le feu vert.

Dès septembre 2016, la CDPENAF décidait de solliciter une étude sur les activités logistiques à l'échelle du département. Depuis, à chaque nouvelle demande il était déploré de ne pas être en possession de cette étude et de n'avoir pas exploré les possibilités d'utilisation d'entrepôts déjà existants. Nous n'avons aucune information sur la date à laquelle le département pourra disposer de cette étude, ni même confirmation qu'elle a bien été diligentée.

Aujourd'hui nous demandons à Madame la Préfète de Seine-et-Marne :

 

  • L'instauration d'un moratoire gelant l'ouverture de nouveaux entrepôts tant que l'étude annoncée sur les activités logistiques à l'échelle du département ne sera pas publiée,

 

  • Qu'aucune nouvelle implantation d'entrepôt ne soit autorisée :
    • Sans étude préalable pour utiliser un entrepôt déjà existant,
    • Sans raccordement au réseau ferré et/ou à la voie fluviale possible et sans utilisation effective de ce raccordement.

 

 

Cette motion prise le 10 février 2018 à l'occasion de l'assemblée générale de France Nature Environnement Seine-et-Marne a été adressée à Madame la Préfète le 9 mars 2018.
 

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NOTRE-DAME-DES-LANDES : ENFIN L'ABANDON DU PROJET

Publié le par France Nature Environnement Seine-et-Marne

Paru dans le Journal de l'Environnement le 17 janvier 2018 :

Le non a gagné!

Le non a gagné!

 

Il n’y aura jamais d’aéroport dans le bocage nantais. Né au temps du Concorde, devenu un marqueur politique de deux visions du monde, le projet vient d’être enterré par Emmanuel Macron. Les terres garderont leur vocation agricole. Les opposants se sont engagés à libérer les accès à la zone.

 

«L’aéroport de la division» ne se fera pas. Depuis les marches de l’Elysée, Edouard Philippe a tranché le «nœud gordien» qu’était devenu, gouvernement après gouvernement, le dossier de la construction d’un nouvel aéroport à Notre-Dame-des-Landes (Loire-Atlantique). Loin de toute considération environnementale, le Premier ministre et le président de la République ont privilégié l’efficacité gouvernementale. «La gravité des enjeux économiques que le pays traverse, la gravité des enjeux de sécurité qu’il connaît exigent que nous restions rassemblés sur nos priorités», a expliqué Edouard Philippe.

Parlons sous. Pas un mot sur le coût pour l’Etat du désengagement de la concession signée en 2010 avec le groupe Vinci. Plusieurs estimations circulent, de 150 à 250 millions d’euros selon les opposants à quelque 350 M€ selon la chambre de commerce et d’industrie de Nantes-Saint-Nazaire. Les trois médiateurs, quant à eux, n’ont pas chiffré le montant de l’indemnisation, dont le mode de calcul diffère selon le motif invoqué (intérêt général ou force majeure, prévus dans le contrat de concession). Vinci s’est dit «à la disposition de l’Etat». Il sera instructif de suivre l’usage qui sera fait des 100 M€ collectés par Vinci depuis 7 ans auprès des compagnies aériennes pour la future construction dans le bocage nantais. Un «préfinancement» désormais caduc que ne peut s’approprier le concessionnaire, a précisé le ministre des transports à Libération. Concessionnaire de l’actuel aéroport de Nantes et de celui de Saint-Nazaire, le géant du BTP saura sûrement trouver son avantage dans l’agrandissement annoncé aujourd’hui. Un élément qui devrait faire partie de la négociation avec l’Etat.

Dossier dans l’impasse

En tant qu’ancien maire, reconnaît-il, il aurait eu «le réflexe» de signer des deux mains pour l’achèvement d’un projet pensé à l’ère du Concorde. Mais les choses paraissent «toujours plus simples quand elles sont vues de loin». Avec un rapport de trois médiateurs sur la table très favorable à la rénovation de l’aéroport actuel, après avoir rencontré une centaine d’élus des deux camps et fort de visites sur le terrain, Edouard Philippe s’est convaincu que «ce dossier [était] dans l’impasse. (…) Un tel projet d’aménagement qui structure un territoire pour un siècle ne peut se faire dans un contexte d’opposition exacerbée entre deux parties presque égales de la population. (…) Cinquante ans d’hésitations n’ont jamais fait une évidence.» Dans ces conditions, l’exécutif décide d’abandonner le projet de Notre-Dame des Landes.

Hulot grand stratège

La forte dimension environnementale du dossier ne semble pas avoir pesé bien lourd dans la balance, Edouard Philippe ne faisant référence ni aux zones humides du site, ni aux espèces protégées, ni même aux dimensions climatiques d’un projet par essence émetteur de gaz à effet de serre. L’abandon du projet constitue donc une victoire politique d’autant plus puissante pour Nicolas Hulot, car le ministre de l’écologie, très attentif à la crise écologique, au changement climatique ou aux choix de civilisation à opérer, a réussi à entraîner l’exécutif dans son refus du projet.

 «Emmanuel Macron piétine les procédures et décisions de justice, il piétine nos collectivités locales, il piétine le vote des habitants», a déclaré Philippe Grosvalet, président du syndicat mixte aéroportuaire (SMA), regroupant l'ensemble des collectivités favorables au projet d'aéroport à Notre-Dame-des-Landes.

Miser sur le train

Avec l’abandon de NDDL, le Grand-Ouest n’est pas condamné à l’enclavement, s’est employé à rassurer Edouard Philippe. Avec Rennes à 1h35 de Paris, et Nantes à 1h58, le risque était faible... Mais le Premier ministre l’a promis: les deux villes, ainsi que Brest, seront mieux connectées par le train aux plateformes de correspondance aux long-courriers internationaux [il faut aujourd’hui trois heures pour rallier Roissy CDG depuis Nantes]. Là où les partisans du nouvel aéroport misaient tout sur le trafic au départ de Nantes, l’ex-maire du Havre opte pour une répartition des passagers entre Nantes-Atlantique et celui de Rennes-Saint Jacques: l’aérogare breton devrait bientôt être agrandi. Enfin, l'aéroport nantais sera rapidement modernisé et les abords de pistes aménagés pour accroitre le nombre de passagers. En parallèle, la procédure pour l'allongement de la piste sera engagée, qui permettra de réduire les nuisances sonores à Nantes. Si celles-ci devaient rester trop importantes pour les riverains de St Aignan de Grand-Lieu, une compensation «exemplaire» sera déboursée. Autant de dossiers sur la table de la ministre des transports Elisabeth Borne, qui dispose de six mois pour étudier les conditions de mise en œuvre de ces trois chantiers.

Terres vouées à l’agriculture

Seule incursion vers les thèses défendues par les opposants au projet: l’avenir agricole des 1.650 hectares désormais délaissés. «Ces terres retrouveront leur vocation agricole», a assuré le Premier ministre . «Nous aurons besoin d’une période de gel de la redistribution institutionnelle des terres, ont demandé les organisations comme l’Acipa, le Cédpa[1] ou la Confédération paysanne. Dans le futur, ce territoire doit pouvoir rester un espace d’expérimentation sociale, environnementale et agricole.» Les agriculteurs expropriés pourront, comme le prévoit la loi, retrouver leur terre s’ils le souhaitent, mais les occupants sans titre «devront partir d’eux-mêmes d’ici le printemps prochain ou seront expulsés», a prévenu Edouard Philippe. «De nouveaux projets agricoles pourront être accueillis à partir de fin avril dans un cadre légal», a-t-il ajouté, ouvrant la porte à une possible sortie pacifique de l’installation illégale mais fertile des ‘zadistes’. L’Etat engagera «une session progressive du foncier de Notre-Dame-des-Landes».

Le spectre de la violence

Alors que 550 CRS convergeaient vers Nantes et Rennes et que 770 gendarmes mobiles étaient recensés autour de la ‘zone à défendre’ (ZAD), la question de son évacuation était dans tous les esprits. Exigée à corps et à cris par tous les pro-aéroport, au nom (au choix) du respect de l’Etat de droit, de l’autorité de la chose jugée ou du pouvoir des urnes, elle n’a pas été brandie par le Premier ministre. Pour «mettre fin à la zone de non-droit qui prospère depuis 10 ans sur cette zone», Edouard Philippe a opté pour une sortie douce et progressive de l’occupation. A savoir que les trois routes qui mènent à la ZAD soient «rendues à la libre circulation», avec le retrait des «squats qui débordent» et celui des obstacles installés depuis 2012 -ce qui est surtout valable pour la D 281. Un point qui est loin de faire consensus parmi les occupants de la ZAD. Une assemblée dite ‘des usages’ consacrée à cette question devait se tenir ce 17 janvier; elle a été annulée dans la foulée de la décision d’abandon. Une assemblée générale est programmée pour demain. D’ores et déjà, les organisations anti-aéroport assurent qu’elles procèderont elles-mêmes au désenclavement de la route. «La présence ou l'intervention policières ne feraient donc qu’envenimer la situation», écrivent-elles dans un communiqué.

 

 

[1] Acipa: Association citoyenne intercommunale des populations concernées par le projet d'aéroport de Notre-Dame-des-Landes; Cédpa: collectif d’élus doutant de la pertinence de l’aéroport de NDDL

 

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